Je croyais que mes sentiments pour elleÉtaient a jamais éteintes.Depuis le jour où elle m’a repousséQue de temps s’est écoulé,
Depuis l’or.Ah ! que de visages se sont éteintesTandis que des nouvelles ont pris faces,
Que de cœur se sont noirciTandis que d’autres se sont polis,Que d’âme ont été arrachéesTandis que d’autres sont insufflées,
Que de rires se sont étouffésTandis que d’autres éclatent de plus belles,Que d’étreintes se sont dénouéesTandis que d’autres se resserrent,
Que de cœur se sont brisésTandis que d’autre se noie dans la joie,Que de building se sont écroulésTandis que d’autres ont surgit,
Que d’échec j’ai essuyer,Que de succès j’ai savourer,Que de ruisseaux se son tarit,Que d’animaux aient périt,
Bref tout se métamorphose,Sauf mon amour pour elleQui a si longtemps restait intacte
Et qui s’est raviver de pleine feueLe jour où j’ai revue.
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