Tous droits réservés par Chassaigne Agnès
L’eau, n’est pas seulement une molécule H20.
Elle est la beauté naturelle par sa transparence, elle peut apporter un sentiment de volupté intense.
Elle est la perle rare pour de nombreuses terres qui l’espère tôt ou tard.
Elle est la pureté par tous les minéraux qu’elle contient, qui apportent à chaque homme ce dont il a besoin.
Elle est la douceur par sa fluidité si on la regarde couler, elle sait nous transporter.
Elle nous apporte la fraîcheur l’été, elle nous aide à nous désaltérer lorsqu’on a la chance de pouvoir la goûter.
Elle est si importante et pourtant l’homme en oubli sa rareté lorsqu’il ouvre son robinet.
Elle a la force que l’homme n’aura jamais, elle seule peut créer mais comment fera t-on si elle disparaît ?
Elle peut a elle seule détruire par son énergie surdimensionné. Les tornades, les tsunamis, les ouragans, sont des démonstrations de sa puissance que l’on ne peut pas toujours anticiper.
Elle est un des cinq éléments, que l’on ne respecte pas assez au détriment de ceux à qui elle manque tant.
Notre planète en recèle une certaine quantité mais plus assez pour qu’elle puisse subsister des millions d’années.
Que fera t-on pour sauver notre terre de ce désastre que nous sommes en train de provoquer les yeux grands écarquillés ?
Que dira t-on à nos enfants que nous ne pourrons plus abreuver de cette ressource dont progressivement nous ne pourrons plus disposer en quantité suffisante pour qu’ils puissent correctement se développer ?
N’as t-on pas assez eu d’avertissement de la part des hommes qui étudient sa rapide disparition sur de nombreux continents ?
Attends t-on la famine, la mort, la disparition de toutes nos cultures, la guerre, les manifestations d’un peuple apeuré ? Pour se rendre compte que c’est un combat qu’on aurait dû mener. Chaque peuple pouvant reconnaître que c’est une priorité que de trouver des solutions avec la solidarité, l’humanité nous pouvons tant réaliser.
La monnaie que l’homme à inventer impose tant de sacrifice, détourne ce qu’il y a de plus vital pour survivre, nous fait faire de mauvais choix pour l’univers entier.
Quel dommage de tant gaspiller, piller, modifier la planète, qui nous accueille, au lieu de la préserver pour avec elle avancer.
Je suis sûrement très en colère et idéaliste sur ma façon de voir l’homme et la terre, mais je crois en nos capacités pour dépasser certaines problématiques sur l’environnement et notre adaptation à apprendre à vivre avec la nature si on arrête de faire semblant de ne pas voir, de se taire et de se satisfaire.
Il y a sûrement des bonnes idées chez l’homme qui inclut la nature dans sa conception de la vie bonne.
Je suis touché par le fait que nous disposons de cette richesse qu’est l’eau sans la respecter assez et que nous n’ayons pas assez conscience dans nos populations privilégiées qu’un jour elle sera par notre faute épuisée.
Nous transmettons à nos enfants sont utilité, sa nécessité, sa rareté pour qu’ils grandissent avec ce respect pour elle et qu’ils puissent l’inclure dans le développement de leurs pensées comme une pierre précieuse qu’il faudra continuer à vénérer.
30.11.20
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