Quand l'empereur revint de sa grande victoire
Sous les plus hautes joies du pleuple applaudissant,
Il était certain qu'il avait gravé l'histoire.
Et marqué d'un large sourire grandissant,
S'en alla lentement saluer sans angoisse
Ceux qui scandaient son nom ainsi qu'un vaste choeur,
Sous le bruit des sabots sans pitié qui froissent
La défaite ainsi que l'amour froissant un coeur !
Les voix retentissaient comme un cri qui s'égare
" Vive notre empereur !" Qu'ils disaient tels des fous.
Alors que celui-ci marchait vers la fanfare
Où attendaient tous les soldats au garde à vous.
Les regardants un à un, gonfler la poitrine
Mais lorsque tout à coup derrière un clairon
Chantais fièrement d'une voix enfantine
Un balc-bec, un sale mioche, un fanfaron,
Ce gavroche à la face encor toute angélique
Riais intensément d'un grand rire moqueur
Et les autres garçons pouffaient d'un ton cynique,
Pendant que les filles regardaient l'empereur
Avancer vers l'enfant en pleine lumière
Le garnement baissa son slip au large trou
Et montra à tout le monde son derrière,
En tapant dessus et de son rire fou-fou
Dit : " Volià pour vous je vous salue de l'arrière !"
Son anus fit rougir adultes et enfants.
" Êtes-vous sur le cul de voir mon derrière ?"
Les gamins retenaient leurs rires triomphants,
Et l'emperur scruta l'éphèbe aux joues d'ange
Lui dire toujours d'un rire moqueur et coi
Qu'entre la très forte pluie et la boue étrange
Il avait le profond salut de son trou du... " - Quoi ?!"
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