À chaque réveil se répète la veille,
Aucune solution durant le sommeil.
Pris dans la boucle, dans les doutes.
Liée par la vie à la même route.
Il faut aller travailler.
Sinon il n'y aura rien à grailler.
Toujours les questions sur le monde,
Sur un système incompris que peu sonde.
Certain ont sacrifié leur vie,
Pour le meilleur d'autrui.
Croire le mensonge serait déshonorer leurs croix,
Aujourd'hui, nous sommes seulement leurs proies.
Création de la peur, du manque, du besoin,
Quelle intelligence d'avoir transformé le foin.
Les banques mènent la dance.
Pendant que le gibier cherche la chance.
Puis on me dit que certain meurt de faim.
Qu'il faut être heureux à chaque refrain.
Jouer sur la compassion pour racler nos bénéfices,
Alors qu'ils continuent à accroître leur avarice.
Il faut compatir pour les autres.
Pendant qu'eux font les apôtres.
La chair humaine est monétisée.
Quand la guerre, il faut rentabiliser,
Une simple partie d'échecs,
Pendant qu'on croule sous les échecs.
Puis on se dit qu'on est mieux que le voisin.
Qui tous les soirs s'injecte du raisin.
L'échelle sociale donnera un peu d'importance.
Pour ceux qui se croient au-dessus de l'obéissance.
Pense être supérieur à la masse échelonnée,
Mais au fond reste de simple prisonnier.
Les différences détachent les troupeaux.
Désolidarise la puissance d'atteindre le haut.
Peu pourront comprendre, là n'est pas une révolution.
Seulement la compréhension de leurs solutions.
Puis on créer la progéniture, on néglige la nature,
On oublie la pourriture, on mange la pâture.
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