Impudent, tu as provoqué le tout puissant !
Prépare toi à subir sa colère
Et jamais, au grand jamais ne feras plus le fier
Je t'ai ménagé jusqu'à présent,
Mais redescends sur Terre, pauvre hère !
Tu te places et t’estimes au firmament
Mais n'est qu'un pâle reflet de mon talent
Ta suffisance et ton outrecuidance,
Ont eu raison de ma patience
Tu sauras qui mène la danse
Malheureusement dans la souffrance
Car jeune inconscient que tu es
Avec le feu tu veux jouer
Mais ne peux le contrôler
Et amèrement vas regretter
Ma puissance destructrice avoir réveillé.
Tes petites piques insignifiantes
Telles les mouches agaçant le lion
Et c'est à genoux que tu imploreras pardon
Certes ta plume est piquante
Et ta langue quelques peu surprenante
Mais que crois tu, petit malotrus ?
Au caquet si bien pendu
Beaucoup d'estime certes j'ai pour toi
Mais il est évident que tu te fourvoies
Jamais personne quel qu'il soit
N'est repartit d'une joute verbale avec moi
Sans être définitivement aux abois
Je te ménage car je t'apprécie
Mais cesses donc de faire des folies
Quand la limite tu auras franchie
Longue sera ton agonie
Et bien vite terminé sera l'hallali
Calembredaines et billevesées
Voilà les seules choses que ta bouche peut éructer
Le maître absolu est maintenant arrivé
Et tes chimères se sont envolées
Ne répond pas tu te ridiculiserais
La défaite tu dois accepter
Et ton honneur conserver
Le silence, est, pour toi, seul endroit où te réfugier.
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