Il y a cette ombre qui fuit l'hôte,Dans un passé qui cristallise les fautes.Perdu dans le chagrin, perdu dans ce jardin,Bien trop vaste pour en trouver le chemin.Condamné à errer quêtant la chimie,Puis ce que rien ne fini l'infini.
Il reste cette carapace bien trop vide,Qui se fissure à chaque ride.Les lueurs d'espoir muent en sueur,Évidemment la défiance d'affronter la peur.L'avenir n'est plus qu'un triste sourire,À qui on jette la pierre à chaque souvenir.
Ici-bas la beauté n'a plus de gout,Dans un monde qui rend toujours plus fou.Puis ce qu'ici la lumière n'est plus,L'âme s'en est alors résolu.Faucher la mort puis attendre,Que la terre retrouve ses cendres.
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