« Une porte qui s'entrouvre ! »
Douce Dame !
Que faites-vous là recroqueviller dans ce recoin de votre vie
Où, dans la pénombre des hauts murs que vous avez élevés,
Vous tremblez des craintes de souffrir de vos peurs créées ?
Est-ce cet accablant tourment, qui, en inhibant vos envies,
Vous a immergée là, dans la mer lancinante de la mélancolie ?
Dites-vous qu'en une telle existence n'existe aucune destinée
Vous étiolez, telle une fleur où l'eau nourricière s'est évaporée,
Ne peut que vous mener, vers le flétrissement de votre existence.
Nul en ce monde n'est inutile, rien n'y est sans importance,
Même pas vous qui ne vous regardez plus de peur de ce que vous voyez !
De la porte que j'entrouvre, ce jour, de votre froide demeure,
S'infiltre ce rayon de lumière qui sûr, réveillera votre cœur,
Redonnant à votre être, à votre âme, leurs envies de bonheur
Oh ma douce Dame, chassez pour toujours de votre cœur ces irréelles frayeurs,
Prenez ma main tendue pour vous enlever au sombre, pour vous emmener ailleurs.
Johan (JR).
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