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[Texte originellement signé : 'Le-gentil-copilote']
...quand s'ouvrent les portes cachées
de ton labyrinthe
tu articules tes mots
tu les marmonnes, tu les griffonnes
tu les dis de travers, comme si ta langue
reste tirée à l'univers
reste tirée en pied-de-nez
ta langue de toutes les expressions
et ta grimace au système dominant,
quand s'ouvrent les issues
que seuls tes yeux peuvent entrevoir
que seule ton émotion peut sentir,
que presque seules reconnaissent les fées.
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