j'aime les musiciens ,et que de deceptions en mon sein
constatant que la plupart n'etaient qu'instruments obseletes
se complaisant ,dans le desaccord de leurs melodies fluettes
egaux a de long gemissements ,de rales vibrantes attendant dans leur agonie pathetique
la main genereuse de l'accordeur pris de pitié ,a reparer leur egaux ,seules valeurs salutaires a leur ethique
chacun essayant de se pretendre le chef d'orchestre
cette pierre angulaire canalysant leurs potentiel qui les pousserait a etre
toi ,tu le peux ,le monstre infame en quete de reconnaissance
de frenesies assouvissantes créée par conflit ,amant de violence s'enlassant dans le fracas d'une tempete assourdissante
les cordes grincantes ,tel des cris de harpies stridents appelant a la discorde
les roulements des tambours ,des chanterelles reclamant le sang
l'epaisse poussiere ettoufante
soulevée par les metaux et les chairs s'entremelant dans une danse macabre ,sous un ciel opaque sur un sol ardent
toi qui ne trouve la paix que dans le fracas du chaos embrassant son ere
toi qui le sait ,que l'histoire ne s'accomplit qu'a la solde du coeur s'embrasant patriote et fier
oui la lumiere est derriere toi
les bras noirs du neant aiment le silence eux ,sois l'accalmie apres le feu
quoi de plus beau qu'une composition sans nuance
crois tu avoir un choix
l'enfant qui refuse sa pitense ,ne pourra refuter sa faim
nous imposons tes pas ,et ta decision sera la notre
nous n'avons que faire de ta foi
pourquoi crois tu souffrir de la sorte
nous chuchotons a tes oreilles ,mais aussi a celle de tes bourreaux
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