Lagune d'or
Le noir géant vainement se tord de nouveauJe sens vibrer en moiTout près, distinctement, ta parole quiDéborde de ses ondes.
Le soleil plonge, le soir accélèreIl écoute au buissonL'air fraîchit.
La terre s’enivrait de cette luneAinsi notre âme s’y offre de bon cœurNe cherchez plus mon regard, l'œil au profond des cieux.
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