les ptites bougies à peine allumées
s'élèvent vers le ciel ,l'amour ,l'attention entretiennent leur foyer
dès laissées ,parfois délaissées ,s'éteignent en silence ,leurs flammes soufflées
étouffées dans un bruit sourd ,petite lueur disparait dans l'obsurité
lumière d'èspoir brulant ses mollécules d'oxygènes pour exister
parfois trop vite ,triste cire ,triste sire le coeur tel fleur étiolé ,le corps étalé
parfois trop vite ,s'affesse de sa propre chaleur ,celle des autres ,le veut les coeurs embrasés
les ptites bougies brulent leurs matières ,fondent mais grandissent ,fortes ,fiers
petite bougie se mélange ,s'enlasse ,brulant sa matiere de mille et une manières
de deux un ,puis trois ,en groupe fournase pouvant plier le fer
le plus solide des alliages de cire brisant la plus solide des barrières
mais les ptites bougies ,rarement réunis ,leurs mèches diffèrent en trop de rien
leurs cire distantent ,pourtant petite bougie manque toujours d'air ,veut se nourrir bien
le meme moule ,essayant de voguer dans les tumultes du vent la meme houle
le temps cher ,à chaque instant
petite bougie ne grandit que pour elle ,n'éclaire que son contour se consume seule et s'éteint
penché sur son dèstin ,tournée vers son déclin
triste ,maléable ,fasconnable des mains d'un sculpteur malsain
golem pour l'orateur aux sombres desseins
poupée de cire pour le monstre libidonneux et sa faim
petite bougie ,fond et s'effondre tel les ailes du fils de dédale ,traitre étaient les rayons solaires
petite bougie ,verra s'éteindrent les étoiles ,traitresse aussi est la voute stellaire
les ptits bougies fondent ou s'effondrent et parfois leurs feux ne prend pas
parfois ,petite bougie seule au début ,seule au moment de son trépas
un simple souffle éteint sa flamme ,l'obscurité prend son éclat
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