Pendant une journée de chaleur oppressante
Je mangeais et buvais tapis dans la verdure
Que pouvais-je faire près de cette eau pesante
Assis sur les cassis et les rouges groseilles
Que pouvais-je faire près de ces villageoises
Qui me regardaient dans haut des champs de violettes
Avec leurs sourires de bonnes paysannes
Où dans les villages ça sent fort les rillettes.
Que pouvais-je manger ou fumer près des fruits
Mangeais-je des pêches, allumais-je ma pipe,
Dans ce champ sans maïs, sous ce ciel sans nuages
Près des villages où ça sent mauvais les tripes.
Que pouvais-je boire parmi les feuillages
Essayais-je d’oublié mes passions mortes
Buvais-je des alcools forts qui nous font bouillir
Ou alors mes larmes sans que mon œil oscille !
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