L'amertume n'a pas encore atteint sa limite.
Tant que dans ce corps les lames s'agitent.
En rythme avec le temps qui s'effrite,
Le cœur se métamorphose en granite.
Seul dans le noir, tout s'éclaircit,
Puis soudain l'inspiration surgie.
Dans ce monde dépourvu de magie,
Les maux s'enchaînent, puis la peine suit.
Il y a toujours ce piètre mal-être.
Exposant fièrement les plaies ouvertes,
Pour lui, il n'y donc pas de pertes,
Prêt à tout pour rendre l'âme inerte.
Saisissant la plume d'un air abattu.
Le vide autour est la seule vertu.
Un peu confus, si seulement j'avais su,
Que dans les livres, tout n'est pas lu.
À cœur ouvert, je livre ce qui m'est chère.
Avec de simples mots, contés mon air.
Des métaphores afin de faire briller le port,
Pour un tant soit peu dissiper le sort.
Le sentiment d'être enfin vivant,
Cela malgré le manque des sentiments.
Mais la joie devra attendre sagement.
Que le linceul se déchire au vent.
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