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L’hiver
Aujourd'hui …
Les vitres de ma fenêtre semblent pleurer,
Je ne sais si elles pleureront de joie,
Ou si pleurent de la tristesse dans son intimité.
Dans les feuilles de l'automne sont déjà parties,
Les pigments de couleur,
Ils ont fanés de son essence.
Je pressens que la froideur de la chaleur,
Bientôt fera un acte de présence.
Le vent avec sa cape blanche,
Baissera depuis son Univers,
Pour couvrir ses amantes, les fleurs
Qui faneront dans la nuit sans le savoir.
Un Vieil hiver,
Parfois cruel,
Et d'autres fois traître,
Nous ne connaissons pas comme tu il est de vouloir,
Mais au moins
Toujours, tu es sincère.
Pouvoir passer un hiver!
Votre terre a l'aspect de ciel,
Mais parfois,
Cela peut être un enfer.
L'hiver … ..
L'élégance de fraternité,
Une composition des cultures,
Des heures d'illusions,
Des dialogues de l'Amour et de la Paix,
Des adieux de nos jours.
Et avec sa vieille élégance,
Tout recommence à briller.
Silencieux et passager,
Un ami de l'éclair et de tonnerre
Qui dénonce parfois sa présence,
En couvrant avec les doux mimes,
Tout celui qu'il touche,
Avec son voile blanc.
Ángel Linares Gamarra , traduit par Paquita
Version original de ce poème