Aspiration
Je contemple, bouche bée et les yeux écarquillés
Chaque fragment de sa spiritualité
Ah ! comme il m’est enivrant Ah ! comme il m’est cher
Le moindre pas, la moindre avancée en ces chairs
Ah ! Très chère que l’on m’ordonne de ne convoiter
J’essaie de m’y résoudre, mais ne peux le jurer
Mon cœur illusoire écœure ma raison, de croire
Tant en cœur et encore, en cet étang miroir
Alors, avide, lorsque l’envie m’en prend, d’écrire,
En de frais souvenirs, délicats fragments de vie,
S’engouffre mon cœur et s’immerge mon esprit
L’envie d’écrire m’en prend, me dessine un sourire
Et ces beaux yeux de jais, insondables abysses
Vives obscurités que rien n’semble troubler
Ces deux mêmes trous noirs, qui, mes pensées, engloutissent
Sont, à ma mémoire, le soleil à l’été
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