si tu sais ce qui se cache derrière les nuages
Illumine le a la lumière des cieux
Défaits ce que nous pensions dieux
Montre nous ce doux réel absent du mirage
Excave le trésor en dessous des couches successives
ranime en te perdant le feu des nuits étoilées
et brave la terrible main de la mer en partant de la rive
sans te faire emporter dans son sein aimanté
Je ne puis rien dire
Je ne peu rien promettre
De cette vérité sonnerai une lyre
De cette plume acterai une lettre
Tu es si sombre dans tes secrets
Même la mort semble se méfier
Ne nous promets rien, garde ton ego
Il ne t’as jamais apporté que des maux
Vers les monts où les esprits s’agitent
Il y à le vent qui s’étire et s’envole
!toi, tu t’exiles, les cailloux rigoles
Où est ce que la salut se mérite?
Tu oserai défier ce que j’appelle père ?
Tu oserai offensé ce que tu nommes mère ?
Misérable engeance, poussière du destin
N’as tu donc pas vu les fils des pantins ?
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