La tristesse au parfum de princesse,
Cesse d’être la chasseresse qui oppresse.
Les émotions s’empalent dans l’horizon,
Grisant les nuages de cette infusion.
Vide est le cercueil abritant le recueil,
Délaissé d’un monde sans son linceul.
Noir est le ciel à fondre l’ombre,
Celle de cet humain qui sombre.
Les rêves ne sont qu’une trêve,
Contre la guerre au gout de sève.
L’ivoire fissure à la pression d’un espoir,
Se brise à la présence du savoir.
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