L'immensité d'un geste.
Un baiser mon déchirement
C'est de ta douceur
Qui m'a écorché le cœur
Comment ne pas être lacéré en sa chair ?
Sachant que ta peau est suave d'épines
De ces blessures en jaillissent
La couleur de ton éternité
Je me complais dans la souffrance
Car mon être meurtrie, verse ses larmes
Qui donne couleur à ta robe vermeille
Cruellement, tu as été arrachée de ma vie
Ce paysage tant familier m'est soudainement devenue étrangeté
Je meurs au soleil levant, dans l'espoir d'une journée
Te revoir à chaque coin de rue
À chaque trottoir traversé
Dans les visages que je croise
Dans les yeux que je regarde
Je cherche inlassablement une frontière de ton être
Cette rivière qui portera mon cœur et bercera mon affliction
Un chemin me menant à tes bras
Tant d'années que je souffre seul en silence
Et pleure languissamment ton absence en secret
Sans savoir, si à mon égard
Il t'arrive à toi aussi, de verser des larmes seul avec un doux sourire, trônant
Ton visage de jeune femme maintenant devenue
Ce rêve qui peut être désir me retrouver
Mon âme de musicien compose sans répit
Des mélodies voulant un apaisement de cette félonne blessure de miel
Rien ne sonnera mieux, que les hurlements
De mon cœur poignardé par l'éternel amour.
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