Allongé dans un pré, tout près de violettes,
Tous les deux nus toujours parfumés de l’amour
Et nos doux corps flattés par les rayons du jour
Ont rêvés dans la nuit, des nobles pirouettes.
Ah, mais quel romantisme a rempli d’un humour
Lyrique mes étés ; que de jolies fillettes
Ont rimé avec moi, sous ces chants d’alouettes
Ressemblant au grand bruit de lyre ou de tambour.
Mon âme se recueille en toi, pure Joconde
Mes pieds marchent vers toi, délicieuse blonde
Ton cœur beau comme un ange éclaire mon éveil.
Ô fille de vénus à la beauté rebelle
Ô merveilleuse Muse, éblouissant Soleil,
Pénètre ma chair où tu es encore plus belle.
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