Le bonheur est-il vraiment présent
Ou est-ce juste notre simple imagination
Mon imagination s’évapore avec le temps
Et je plonge seule dans le noir profond
J’espère être capable de revoir l’aurore
Prise au piège sous la noirceur du ciel
Ce sentiment que je ressens,
Cette sensation d'emprisonnement,
Derrière un mur infranchissable,
Un pont instable,
J'essaye chaque jours d'avancer,
Cette voix dans ma tête,
Tu me parle encore et encore,
En attendant qu'un jour tu t'arrêtes,
Espérant simplement que tu es tort.
Cette voix qui m'étouffe,
Sans pouvoir reprendre ma respiration,
Voilà maintenant plus d'un an
Un an de survie
Un an de souffrance et de folie
Voilà maintenant plus d'un an que tu es parti
Tout ceci fut apparement inévitable
Peut être l'avons nous trop évité
Peut être aurions nous pu en discuter
Mais bien sûr cela n'aurait rien arrangé
Comment aurais-je, comment aurais-tu, comment aurait-on ?
Comment aurais-je tout changé ?
Comment aurais-tu tout recommencé ?
Comment aurait-on tout amélioré ?
J'aurais peut être dû t'écouter
Chaque jour je ne pense qu'à toi
Alors que toi tu ne peux plus penser à moi
Car tu as arrêté de penser
Dès l'instant où tu t'es suicidé
Dès l'instant que tu as oublié
Que j'aurais pu t'aider
Une petite fille qui
parle à son père
L'éléphant sur le mur
Me voilà de retour dans ce monde qui brûle C'est peut-être une cure, c'est peut-être la cigüe Tu n'es qu'une cellule, tu m'as mis en cellule Je n'en ai pas la clé, est-ce que je suis fichu ?
Alors moi, je m'évade, j'oublie l'enfermement Je libère mon esprit et crée ma propre clé Juste avec ces mots qui volent à tout venant Ces mots qui viennent, issus de profondes pensées
Le baiser du diable
Sur mon visage, le Diable a déposé ses lèvresEt il m’a imprégné avec la couleur de la fièvre.Se complexe agit comme un globe de verre,Dans lequel bouillonne la chaleur infernale de l’enfer.Mon âme, en plein désarroi, y est prisonnière.Au-delà des parois clairs de sa cellule écarlate,À l’écart, elle observe la vie qui joue ses cartes.
On amasse les massacres et l'on sacre la masse
On les a massacrés, démembrés, même plus Ravivant le souvenir d'Auschwitz, ou Buchenwald Ces temps où l'on tuait des juifs, rien de plus... Prouvant combien les gens étaient manipulables
Tout était blanc
Tout était calme,
Il faisait froid,
Tombaient les larmes.
"Pleine plume"
Un soir de pleine lune, et avec une pleine plume.
tu te tiens là, comme un fantôme et ma présence s'efface,
Que faut-il faire pour ajouter ta lumiere, a l ombre qui passe?
J'ai pris ma gomme a la place de mon crayon,
Princesse en détresse
Pas belle je suis
Moche on me dit
Laide je resterais
Et ça à tout jamais
Prouvez moi le contraire
Vous finirez bien par vous taire
Arreter de me narguer
Avec votre beauté
Bouton d'acné et tralala
Qui soit disant ne se voit pas
Me rendent toxique
Surtout en public
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