Après 1981
On l'a abolieMaintenant la vie nous traque et nous maudit,On est le fruit du on ditJusqu'à quel âge allons nous grandir,L'erreur appartient à nous même À nous d'emporter ce je t'aime On a essayé, mais on n'a pas pensé Qu'on était de riche être,Fragile comme ce hêtre,On est une partie de minorité,Mais où se trouve cette majorité,
On a tout puisé à l'excès Mais qui protégeons nous celuiQui épargnera ce qui nous succède,Mais on ne sera qu'une faible valeur,Ou héritera t'on sur nos frontsCette puissante chaleurJ'écris, je laisse tomber cette religion,ParleAvec la langue que nous comprenons
Merci de laisser un commentaire !
1000 caractères restants
Copyright © 2006 / 2024 Vos poèmes (partage de poèmes) — Tous droits réservés
Plan du site Créé et géré par : Thierry M. (Isidore)
Information légale - Politique de cookies