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Je n’y suis pour personne Qu’importe qui sonne,Côté cour, côté jardinJe fais la sourde oreille.En butte aux importuns,Aux marchands de merveilles. Pour les relations sociales,J’ai de nombreux contactsDans des réunions conviviales,Pleines d’amitiés et de tact.Avec les vivants nuagesAvec leurs pluies je fais bon usage.
Les oiseaux se perchent qui sont de passageJe leur confie des messagesDe paix de hauteur de vue comme les vieux sagesOu sédentaires comme le rouge gorgeNous entretenons une franche relation que l’amitié forge.
Que dire des belles relations muettesQuand L’entente est parfaite.La parole est d’argentEt le silence est d’or !Avec la végétationDe la corbeille d’argentAux lumineux boutons d’orJ’admire les couleurs multiplesDans un petit périple :Le tour du jardinEst un superbe muséePlein de fragrances et de parfums.
Exhibant la beautéD’un eldorado naturel,Dont on se sait dire laquelle est la plus belleDes fleurs gracieuses et gorgées de suavité. Le jardin repli naturelLorsque le bruit, les querelles,Les fausses joiesSont d’un trop lourd poids.Vive le divin retour au cœur d’un petit paradis offrant calme,Vivante philosophie, partage d’un univers dont je suis épris. Je n’y suis pour personne ;Qu’importe qui sonne,Côté cour, côté jardinJe fais la sourde oreille.En butte aux importuns,Aux marchands de merveilles.Raymond 02 10 2024
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